Martial ROMERO, jeune chasseur d'orages de 25 ans, habitant du département de la Haute-Loire en région d'Auvergne.
J'ai découvert cette passion pour la foudre à l'âge de 17 ans grâce à mon père, Patrice ROMERO, un certain 13 Juillet 2006 lorsqu'il prit pour la première fois de manière exceptionnelle un impact de foudre au dessus de la commune de "Saint-Ferreol d'Auroure":

En voyant cette photo, le "chasseur d'orages" qui sommeillait en moi s'est réveillé. Si lui, avait réussi à prendre cette photo, pourquoi pas moi ? Mais faute d'argent, de temps et surtout de connaissance, je n'ai pas pu mettre en pratique cette nouvelle passion avant plusieurs années.

C'est un certain 4 Mai 2008 que tout va être relancé de nouveau dans ma tête, lorsqu'en soirée, par temps orageux, j'ai pu réaliser ma toute première photo de foudre à l'aide d'un simple appareil photo numérique compact bas de gamme en le bloquant sur le rebord de la fenêtre:

En voyant le résultat et en regardant mon simple appareil photo, j'essayais d'imaginer le genre de résultat que je pourrais obtenir avec un appareil photo reflex de bonne qualité.
En 2009, je fais enfin l'acquisition pour la première fois d'un appareil photo reflex numérique, un Nikon D50 ainsi qu'un objectif 18-70mm. J'avais le matériel, je pensais que tout étais en poche à présent. Mais il n'en étais rien. Il me manquait la pratique, la maîtrise de l'appareil photo mais pas que, surtout la maîtrise du ciel. Et il faut des années et des années pour arriver à appréhender le ciel de la bonne façon.

En 2013 je me considère comme étant un chasseur d'orages confirmé, et pourtant lors de chaque chasse, le ciel m'apprend quelque chose de nouveau.
Aujourd'hui, je dispose de plusieurs appareils photo reflex numérique, de plusieurs objectifs et d'accessoires. Il m'aura fallu plus de 3 ans, avant de savoir prédire le temps, de savoir quel réglage de l'appareil adapter à telle ou telle situation.
J'exerce cette passion sans aucun but professionnel, je ne désire pas faire carrière dans la photographie car le plaisir ne serait plus le même. Une photo "ratée" m'encourage à m'améliorer, et donc ne représente pas un manque à gagner.

Le coût que représente cette passion est considérable ( le matériel, les kilomètres... ), mais également le temps que ça occupe.
Lorsque je ne suis pas derrière mes boitiers devant une cellule orageuse, je travaille dans la grande distribution en tant que caissier. Je pense que ce loisir n'est pas à la portée de n'importe qui.

Néanmoins, si vous aimeriez découvrir l'univers de la chasse à l'orage, je serais ravi de vous initier à cette aventure ! J'ai fait découvrir cette passion à de nombreuses personnes, qui ont toutes adoré.
Si vous êtes de la région et que vous désirez franchir le pas, n'hésitez pas à me contacter ( vous trouverez mes adresses Internet dans la section "Contact" ).